DOUZIL - moteurs et batteries

Le premier moteur était un Minn Kota, 36 Volts, très silencieux, mais pas assez puissant pour la Bretagne Nord. Le second est un Torqeedo de 4000 W avec un parc de 4 batteries (48V- 110 AH) à capacité de décharge profonde.

Le Torqeedo est un équivalent 10 CV thermique. il pousse la carène au maximum à 6 noeuds.

En 10 ans de service (août 2020), aucune maintenance, aucune révision, le moteur est nickel à l'exception d'un début de corrosion sur le voile de l'arbre (sans conséquence). Seul achat : une commande à distance et une rallonge supplémentaire pour utiliser la télécommande depuis le cockpit central.

 

Autonomie :

Le parc de batteries

Les câblages jusqu'au moteur sont réalisés avec des câbles de démarrage de camions et des connecteurs industriels.

Danger : à pleine puissance, c'est 80 Ampères qui circulent dans les câbles. Cet ampérage ne supporte pas l'à peu près : un mauvais contact et ça chauffe, au point de prendre feu (une batterie a pris feu et le contreplaqué également une seconde fois en 2015 à cause de mauvais contacts). Il faut des connecteurs sérieux et des liaisons souples entre les batteries pour parer aux petits déplacements des batteries entre elles notamment.